Après Emmanuel Macron au Congo, dans la foulée, c’est autour de la Vice-présidente Kamala Harris de fouler le sol africain. Sa visite de travail l’emmènera plus précisément au Ghana, en Tanzanie et en Zambie pour finir. Dans un climat survolté par la présence de plus en plus assumée de la Chine et de la Russie sur le continent, certains observateurs laissent peu de place au doute quant à l’arrivée non-intentionnelle de Kamala pour resserrer les liens entre les États-Unis et l’Afrique au point de reprendre la main sur certains aspects de cette relation qui à en croire certains analystes semblent leur échapper.
Au Ghana, Kamala Harris, s’est longuement entretenue avec le président de la République Nana Akufo-Addo. Au menu des échanges: l’engagement pour la démocratie, sécurité mondiale, croissance économique à long terme.
En Tanzanie, entre la vice-présidente et la présidente Samia Suluhu de Tanzanie, il a été longuement question, de la promotion de la croissance économique, la lutte contre la crise climatique et la sauvegarde de la démocratie.
En Zambie, avec le président Hakahinde Hichilema, les deux sont revenus sur l’histoire commune des deux pays, ce qui sous-entend un partenariat solide.
