La légendaire poupée Barbie a étincelé non seulement dans les salles obscures, mais aussi sur la scène mondiale du box-office, écrivant ainsi une nouvelle page de l’histoire cinématographique. Le film “Barbie”, réalisé par la talentueuse Greta Gerwig, a atteint le sommet du milliard de dollars de recettes mondiales en seulement trois week-ends depuis sa sortie, marquant un jalon sans précédent pour une réalisatrice en solo.
La magie rose bonbon a opéré dès les premières minutes du film, propulsant “Barbie” vers une réussite époustouflante. L’association des stars Margot Robbie et Ryan Gosling, incroyablement captivantes en Barbie et Ken, a conquis les cœurs du public, tout comme l’univers emblématique de la poupée Mattel qui a sauté des boîtes à jouets pour s’aventurer dans le monde réel, confrontant les défis du sexisme et de l’identité.
“Barbie” plonge le public dans l’univers apparemment parfait de Barbie, qui révèle rapidement des fissures dans son existence idéalisée. Margot Robbie incarne avec brio une Barbie qui se confronte à des défis existentiels et aux réalités complexes de la vie quotidienne. Avec Ryan Gosling en Ken, le film met en lumière des thèmes tels que la misogynie, la pression sociale, l’identité et la place des femmes dans une société profondément enracinée dans le patriarcat.
La success story s’est poursuivie à travers le globe, avec un total impressionnant de plus de 1,03 milliard de dollars de recettes mondiales, selon les estimations du cabinet spécialisé Exhibitor Relations. Warner Bros, l’un des géants de l’industrie cinématographique, a souligné que ce succès rapide positionne “Barbie” comme le premier film à dépasser le milliard de dollars de recettes en si peu de temps depuis un siècle.
Greta Gerwig, la réalisatrice audacieuse derrière le film, a réussi à marier habilement divertissement et commentaires sociaux percutants. “Barbie” ne se contente pas d’orner les écrans de nuances roses, mais apporte aussi une vision critique des normes de genre, de l’apparence et des aspirations. En dépeignant le parcours de Barbie de la perfection idéalisée à la réalité complexe, le film aborde avec subtilité les défis contemporains tels que la pression des médias sociaux et les attentes contradictoires imposées aux femmes.
La vague “Barbie” a déferlé bien au-delà des cinémas, déclenchant une frénésie rose bonbon dans le monde entier. Des vêtements aux accessoires, en passant par les patins à roulettes, l’aura de la poupée emblématique s’est propagée dans chaque coin de la société. Les ventes de poupées ont connu une explosion, en particulier en Afrique du Sud, démontrant la puissance de l’impact culturel de ce film.
“Barbie” transcende son emballage rose pour devenir une œuvre cinématographique engagée qui suscite des discussions profondes sur le genre, l’égalité et la société. En défiant les attentes et en ébranlant les fondements du patriarcat, ce film audacieux peut ouvrir la voie à un changement culturel significatif et à une vision plus équilibrée et juste du monde.
