En rejoignant le club de la capitale l’été dernier après avoir récemment fait ses preuves au LOSC Lille et à l’OGC Nice, Christophe Galtier, un entraineur qu’on ne présente plus s’est engagé à recoller les pots cassés et à trouver les remèdes qui doivent infailliblement guérir certains des maux dont souffre le Paris-Saint-Germain.
Cette fois-ci le club n’a pas jugé opportun de miser sur des grands noms d’entraineurs tels que : Antonio Conte, Carlo Ancelotti, José Mourinho, Jurgen Klopp, etc…
Les divorces successifs avec les entraineurs qui ont précédés, que ce soit Unai Emery, Thomas Tuchel ou Mauricio Pochettino, étaient censés déboucher sur une nouvelle solution au problème du club à soulever la coupe aux grandes oreilles malgré tout l’argent investi.
Véritable raz-de-marée, Leonardo l’ancien Directeur Sportif du club a été demis de ses fonctions. Pour le remplacer, un certain Luis Campos. Après quelques années de trébuchement, un vent de changement souffle sur le club parisien. Croyant que les joueurs qui n’arrivaient plus à avoir un temps de jeu pourraient consentir à la philosophie de ce nouveau départ, la nouvelle direction leur proposa bon gré, mal gré, de faire leurs valises, de quoi les laisser fredonner :
« Paris, c’est fini.
Et dire que c’était la ville de mon premier amour.
Paris, c’est fini.
Je ne crois pas que j’y retournerai un jour ».
Comme l’exige la tradition, l’ambiance au Parc des Princes ce samedi 1er octobre où le Paris-Saint-Germain recevait l’OGC Nice comptant pour la 9e journée de la Ligue 1 Uber Eats, était à la fois électrique et euphorique. Ça se passe toujours comme ça.
Le PSG pouvait compter sur Lionel Messi et Kylian Mbappé pour plier le match : Deux buts à un.
L’entraineur parisien qui eut une semaine difficile sur le plan personnel, concernant un différend avec l’ancien Directeur du football niçois, Julien Fournier qui l’a accusé à demi-mot d’une « chose grave » eut grâce à cette victoire de quoi regonfler son moral.