Elle est mondialement reconnue. Non seulement en tant que militante pour le climat, mais aussi en tant que présidente du groupe consultatif de la jeunesse sur le changement climatique de l’ONU. Ayant obtenu un master en énergies renouvelables, sa vision de combat peut être résumée en une phrase : 

« La justice climatique est ce que nous recherchons tous. La justice pour le développement, pour les générations futures et bien sûr pour la planète », comme indiqué dans sa biographie sur Instagram.

Selon Nisreen, il ne fait aucun doute que l’Afrique est l’un des continents les plus vulnérables et touchés par le changement climatique, non seulement en raison de sa situation géographique, mais aussi en raison des problèmes liés aux infrastructures et à la pauvreté. Elle insiste sur la nécessité de rassurer les jeunes générations.

Lors de la COP26 à Glasgow, son principal objectif était de négocier le transfert des technologies d’énergies renouvelables afin de réduire les effets du changement climatique qui frappent l’Afrique et son pays. Elle considère que ces technologies devraient être accessibles à tous. Depuis 2012, elle mène un combat héroïque aux côtés d’autres défenseurs de l’environnement pour redonner à la nature ce qui lui est arraché de force.

Antonio Guterres, le Secrétaire général des Nations Unies, nous rappelle avec insistance que  nous sommes dans une situation d’urgence climatique. Nous n’avons pas le luxe du temps.