Entre Jeff Bezos, le patron d’Amazon, et lui, c’est à un jeu de chaises musicales qu’ils se livrent depuis que Bill Gates n’est plus dans la course de la plus grande fortune mondiale. On pourrait croire qu’ils détiennent un secret que le reste d’entre nous ignore.

Né à Pretoria le 28 juin 1971, l’entrepreneur sud-africain s’est forgé au fil du temps la réputation d’un homme que rien ne peut arrêter. Le ciel n’est plus sa limite, mais plutôt un objectif à conquérir par tous les moyens. Mars est devenue sa nouvelle obsession, à tel point que tout l’univers semble se plier à sa volonté. Avec une vision claire de ses entreprises, même si certains qualifient ses ambitions de trop audacieuses, rien ne le déstabilise. C’est un rêve qui semble le hanter depuis sa jeunesse, une jeunesse passée dans un pays tourmenté par l’Apartheid.

Né d’un père ingénieur sud-africain (Errol Musk) et d’une mère mannequin et nutritionniste d’origine canadienne (Maye Haldeman), le jeune garçon a été profondément affecté par l’échec du mariage de ses parents. Cela l’a poussé à se plonger davantage dans la lecture et à cultiver sa curiosité. Cependant, il parle peu de l’Afrique du Sud. Il doit avoir ses raisons.

Fondateur de Tesla et de SpaceX, Elon développe de nouvelles technologies et envoie des satellites dans l’espace. Récemment, suite à l’annonce d’une commande record de 100 000 Tesla par la société de location Hertz, l’action de Tesla a grimpé de 12,7%. Une augmentation de 36 milliards de dollars en une journée. Le 23 avril 2021, sous les yeux du monde entier, nous avons assisté au décollage de Thomas Pesquet et de trois autres astronautes à bord de la capsule Crew Dragon de SpaceX, pour rejoindre la station spatiale internationale (ISS).

Devrions-nous maintenant l’appeler Elon Marsk ?

En tout cas, l’avenir nous le dira.