Béringer GLOGLO
Economist and founder of the Think Tank "Cercle des Jeunes Economistes pour l'Afrique" (CJEA)
Benin
M Beringer GloGlo est un économiste et fondateur du think tank Cercle des Jeunes Économistes pour l’Afrique (CJEA). Il porte un vif intérêt pour les problématiques de développement économique de l’Afrique, l’épanouissement et le bien-être social des
populations africaines. Il est convaincu du rôle déterminant de la jeunesse et de la diaspora dans ce processus.
Le CJEA réunit la jeunesse africaine, la trentaine, de divers horizons (économistes, chercheurs, ingénieurs statisticiens, professionnels de la finance, etc..) dans plusieurs pays en Afrique (Bénin, Côte d'Ivoire, Maroc, Sénégal, Tchad, Togo) et en France. Il est l’un des leaders dans l’écosystème en termes de production de réflexions, de recommandations de politiques
publiques innovantes en faveur du développement du continent. Par ailleurs, M GloGlo est titulaire d’un Master 2 recherche en économie monétaire et financière.
Actuellement, il poursuit une thèse de doctorat en sciences économiques après un passage dans le conseil en finances publiques. Ses recherches portent sur la macroéconomie monétaire et la politique monétaire, notamment sur la région de l’Afrique de l’Ouest. Il partage fréquemment ses analyses sur les économies africiaines dans la presse écrite (Financial Afrik, LSi, etc…)
” Je participe à ce jury parce qu’il est important de valoriser le travail et l’engagement des africains qui oeuvrent, d’une manière ou d’une autre, pour l’émancipation du continent. Dans l’une de mes tribunes, je fais allusion à la légende amérindienne du colibri, ce petit oiseau qui, selon la légende, a fait sa part lorsqu’un immense feu ravageait la forêt de l’Amazonie. Chaque action aussi infime qu’elle puisse paraître est significative et déterminante pour le résultat final. Il me semble donc totalement évident de valoriser les auteurs par une simple reconnaissance, c’est déjà beaucoup. D’ailleurs, je profite de l’occasion pour saluer ARTMAN TIMES pour ce travail de témoignage de reconnaissance.
Le développement du continent africain est non négligeable ; et la jeunesse doit lutter pour cela. C’est elle qui pâtit le plus des déséquilibres. S’engager réellement et se prémunir contre la «kakistocratie» seraient déjà un bon point de départ ’’.